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MONGOLIE-ALTAÏ

Patrick est en relation,  avec la puissance énergétique de l'Altaï.

Il est particulièrement lié à l'énergie d'un " Grand Père " Chaman

et à celle de la puissance de guérison de l'aigle de l'Altaï.

Il se nourrit aussi, lors d'invocations, de la force de Belovedi ou Shamballah

(pays où les maîtres de sagesse conservent l'essence de la connaissance)

dont le centre serait situé dans les montagnes de l'Altaï.

Patrick Dacquay est membre d'honneur de l'association des chamans de Mongolie

(Mongol Tenger Unen Union For Shamanistic Research)

Il est porteur d' Oracles de la tradition Mongole

INDE

RAM

Ram est un avatar,

c'est-à-dire un dieu incarné tel Jésus et Bouddha,

qui aurait vécu 5000 ans avant J.C. en occident et en orient.

Il serait le père spirituel

des Druides (tradition celtique) et des Brahmanes (tradition indienne)

qui ont pour mission d'être les témoins de la pensée traditionnelle archaïque.

 L'histoire de Ram a été à ce jour transmise oralement aux initiés

mais l'ère du Verseau autorise qu'elle soit connue d'un plus grand nombre.

 

 

A cette époque, la civilisation celte

commence à pratiquer l'agriculture et à se sédentariser.

Les intermédiaires spirituels se mettent à bâtir leurs temples

qui sont en réalité des mégalithes

avec lesquels ils peuvent maîtriser les énergies cosmiques et telluriques

pour soigner la terre et les hommes.

Les prêtres et les prêtresses sont complémentaires,

ils ont chacun un rôle particulier

et aident au développement de la conscience de ces peuples

pendant cette période mal connue à ce jour.

Mais comme il en est souvent le cas,

l'attrait du pouvoir va faire sombrer cet équilibre. 

Les magiciennes vont s'imposer et prendre le pas sur leurs homologues masculins.

Cette ère du pouvoir des femmes

est ce qu'on appelle de façon incorrecte la "civilisation des amazones".

Les hommes sont progressivement traités comme un sexe inférieur

et des fonctions subalternes leur sont attribuées.

Pendant de nombreux siècles, le pouvoir des femmes s'exerce sans résistance.

Cette situation est comparable à celle contemporaine

où les hommes exercent encore, dans plusieurs pays,

un pouvoir despotique sur les femmes.

C'est alors que naît, à l'actuelle frontière franco-belge,

un enfant mâle qui prendra comme nom de prêtre : Ram. 

Sa venue sur terre vise à rétablir l'égalité entre les hommes et les femmes.

Comme le combat guerrier était encore le moyen de faire valoir les plus hautes vertus, Ram se met à la tête de la révolte des hommes.

Il se heurte violemment au pouvoir féminin tout puissant qui tente de le détruire.

Les rivières sont teintées de rouge tellement les batailles sont sanglantes. D'inestimables connaissances vont être perdues à jamais,

car toute destruction engendre toujours un effondrement de la conscience.

A la fin de ces combats,

Ram et ses adeptes, victorieux, vont rejoindre l'Hindus pour s'y établir.

C'est à la suite d'un long et pénible pèlerinage

qu'ils réussissent à atteindre leur but.

C'est en Inde

que les pratiques celtiques de Ram vont rencontrer celles Tantriques

pour fonder une nouvelle religion que l'on appelle aujourd'hui l'Hindouisme.

Les Brahmanes, les prêtres de cette religion, sont donc les héritiers des Celtes de Ram.

Quelques siècles plus tard,

les descendants des adeptes de Ram vont s'installer en l'Europe

puis revenir en Bretagne et en Normandie pour implanter la tradition spirituelle Celte. Les Celtes se sont scindés en deux branches:

les Gaëls, qui ont peuplé l'Irlande et l'Ecosse

et les Brittoniques, qui ont engendré tous les autres peuples celtiques.

Les échanges entre les prêtres de Ram avec les habitants de ces terres

ont permis un mélange de spiritualité indienne et de connaissances chamaniques,

d'où est issu le Druidisme.

 

 Le Druidisme

s'apparente donc beaucoup plus à l'Hindouisme

qu'aux religions judéo-chrétiennes d'essence méditerranéennes.

 Aujourd'hui encore, le Druide, Déo, ou guérisseur celte puise dans ces racines

et s'imprègne des lois de la nature pour guérir les âmes, les cœurs et les corps

tout comme les Brahmanes

(on peut noter toutefois que les Brahmanes étant les prêtres

de la religion dominante en Inde,

une érosion de la mémoire de l'origine s'est produite,

un glissement dogmatique et une perte du ressenti

au profit de l'exécution mécanique du rituel.

En ce qui concerne les Druides, même si leur influence est réduite,

on peut observer, dans les ordres structurées, la même dérive.)

Actuellement,

l'ère du Verseau permet l'émergence

d'une pratique celtique et hindouiste régénérée

qui passe par une prise de conscience individuelle.

 

BALAYOGI

 

 

Balayogi est un maître indien

qui a vécu sa dernière incarnation de 1935 à 1985.

Balayogi signifie, en Sanskri, "l'enfant Yogi".

Ce nom lui a été attribué à l'âge de 15 ans lorsqu'il est entré en samadhi,

c'est-à-dire en méditation profonde sans manger, boire ou dormir.

Pendant le samadhi, le taux vibratoire du corps augmente

et permet l'absorption directe de l'énergie vitale qui lui est nécessaire,

sans l'intermédiaire de nourriture et d'eau qui sont des  vibrations plus denses.

 Cette énergie à l'état pur, est appelé Prana.

Les celtes la nomme "farine de l'air".

 Cette quête de vision, qui dura 40 ans,

est tout à fait extraordinaire et témoigne d'un être hors du commun. 

En Inde, Balayogi est considéré comme un avatar,

c'est-à-dire dieu incarné en toute conscience, comme l'étaient Bouddha, Jésus, etc.

 

La rencontre spirituelle de Balayogi a été déterminante pour Patrick.

Il le considère comme son père spirituel

 

Constamment guidé par Balayogi

, Patrick à entreprit une méditation profonde sans manger ni boire.

Cette quête de vision à eu lieu en Inde, à partir de mars 2005.

SRI VERABRAMINDRA SWAMI

 

 

Sri Verabramindra swami est un maître indien

qui vécu au 17ème siècle pendant 180 ans.

Après avoir consacré les 150 premières années de sa vie

à guérir les corps, les esprits et les âmes malades, 

il entre ensuite en samadhi pendant 30 ans.

Cloitré entre quatre plaques de marbre noire,

il expérimenta l'histoire de l'humanité, de son origine à son déclin.

 Il consigna ses connaissances sur des feuilles de bananiers,

aujourd'hui transposées dans un livre que l'on appelle "le livre de la connaissance".

 Ce livre n'est pas encore accessible aux occidentaux

mais devrait l'être  par transmission orale de plusieurs enseignants,

choisis par Sri Verabramindra swami.

Ce saint a été important pour Balayogi

qui a fait trôner sa statut sur le toit de son temple.

Balayogi a  demandé à ses proches de se rapprocher de Sri Verabramindra swami,

ce qu'a fait Patrick Dacquay.

 Patrick reçoit des enseignements de ce Sri Verabramindra swami

dont une technique de soin particulière.

 Cette méthode de guérison est aujourd'hui utilisée

par la 7ème génération de ses disciples dont fait partie Patrick.

 

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